dimanche 18 décembre 2011

Old text



J'ai trop envie de crier. De te dire que je te déteste de m'avoir laissée comme ça, d'être parti sans rien dire. Tu ne m'aimes plus c'est ça? & pourtant moi je t'aime tellement, mais ça tu ne le sais pas je crois. Je crois que t'as pas compris que j'ai besoin de toi dans ma putain de vie de merde. T'as toujours été là pour moi, tu me fais rire, & maintenant tu t'en vas comme ça. Qu'est-ce que je dois faire alors ? parce que tous les soirs j'angoisse, je me demande ce que tu deviens, & à chaque fois que j'essayais d'écrire, je pleurais tellement que j'en avais même plus la force, parce que rien que de penser à toi ça me fait mal. Alors pour aller mieux j'imagine que tu es encore là, que tout va bien & quand j'ouvre les yeux tu n'es plus là alors je recommence à pleurer & je m'enferme, je dors, je me réveille, je pleure, je m'enferme, je pleure, je m'endors, je me réveille, je pleure. Voilà ce qu'est devenue ma vie maintenant que je suis sans toi. & le pire c'est que tu es parti comme ça, parce que tu ne veux plus de moi sûrement, tu crois peut-être que tu n'es qu'un simple ami pour moi, mais c'est pas vrai, c'est pas vrai putain! T'es la seule personne que j'aime autant sur cette terre, t'es le seul homme pour qui je ressens ça, t'es le seul dont j'ai besoin pour me lever le matin, mais ça tu ne le sauras jamais, parce que je sais que ce n'est pas réciproque & que je ne compte pas pour toi.. je ne compterais jamais pour toi autant que toi tu comptes pour moi. Mais j'espère encore chaque soir quand je suis toute seule que tu vas bien, que tu es heureux, qu'il ne t'arrive rien de mal, & que peut-être un jour il te prendra l'envie de me revoir.

dimanche 11 décembre 2011

Endless story.


Tu te rends compte, tant de chemin parcouru.. Il n'y a pas si longtemps on n'osait même pas s'adresser la parole, ni même se regarder, c'était comme s'il y avait un mur entre nous. & maintenant tu es là, ancré dans ma vie comme si elle dépendait entièrement & uniquement de toi.. Tu es la seule chose qui me reste aujourd'hui, tout ce qui me tient en vie. Je sais que l'on a pu se faire du mal, pleurer chacun de notre côté, faire des erreurs, mais je considère tout cela comme ce qui appartient à notre passé, ce qui n'arrivera plus jamais. Tu sais pourquoi? Je t'aime tellement, comme jamais je n'ai aimé quelqu'un & ça restera pour toute notre vie, tu peux me croire. Mon coeur t'appartiendra jusqu'au bout, & quoi qu'il arrive tu seras toujours là dans ma tête & dans mon coeur, "jusqu'à ce que la mort nous sépare". Tu es le seul, vraiment le seul. Il n'y a plus assez de mot pour te prouver à quel point je t'aime, à quel point je suis folle de toi, à quel point tu me rends forte. Je pourrais tout casser, tout détruire, m'enfuir, n'importe quoi qui nous permette d'être ensemble si c'était nécessaire. Sache simplement que chaque larme que j'ai fais couler de tes yeux sera séchée par notre futur, & le jour où tu me passeras la bague sera certainement le jour le plus beau de toute ma vie parce que je serais enfin sûre que tu n'appartiendras qu'à moi & que tous les mauvais souvenirs se seront noyé dans l'amour que je te porte.

dimanche 13 novembre 2011

Rousses & sexy

Qui a dit que les roux étaient mooooches, débiles, malades mentaux, extra terrestres, tarés?














 





vendredi 4 novembre 2011

Another Day In Paradise



Ce soir, quand je rentrerais tu seras là à m'attendre, quand je me réveillerais le matin tu seras à mes côtés, quand je m'endormirais ça sera dans tes bras, quand je regarderais dans une direction tu regarderas dans la même, quand je pleurerais tu sècheras mes larmes, quand je rierais ça sera parce que tu auras dit quelque chose de drôle, quand je penserais à toi tu penseras à moi, quand tu auras besoin de moi je serais là, quand tu seras triste je t'embrasserais. Si tu veux me laisser je te retiendrais. Si tu savais comme je peux t'aimer. C'est encore plus que de l'amour, c'est bien au dessus, & quand tu n'es pas là je ne suis pas entière, il me manque ma moitié. Moi qui pensais ne jamais pouvoir aimer autant & qui pensais ne jamais trouver l'amour de ma vie, je me suis trompée, parce que c'est toi & uniquement toi. Je ne sais pas si des mots suffisent pour te dire que tu es toute ma vie. Chacun de tes "je t'aime" recollent petit à petit chaque morceau brisé de mon coeur & sache que le seul jour où je serais vraiment heureuse ça sera lorsque tu m'appartiendras, quand je saurais que je suis la seule femme qui compte à tes yeux, & lorsque l'on ne se quittera plus jamais. C'est toi l'homme de ma vie.. Enfin presque, car dans 10 ans, tu ne seras plus le seul & cet homme là il t'appellera papa.

samedi 29 octobre 2011

Heavyweight

                                                            
 J'ai encore besoin de me vider la tête, encore parler de toi, de combien je peux être amoureuse de toi, de chacun de tes gestes, de tes yeux, de ton sourire, de ta présence, de tout en toi.
J'ai toujours besoin de tes bras, de sentir ta bouche contre la mienne, tout ça me manque tellement. Au lieu de ça il faut qu'on se taise & qu'on fasse semblant de rien, tandis que j'essaye d'éteindre l'étincelle dans mes yeux à chaque fois que je les pose sur toi. A chaque fois que je te vois, c'est notre avenir que j'imagine, c'est le jour où enfin je t'appartiendrais & je n'aurais plus peur chaque jour, chaque heure de te perdre pour toujours. Sans toi ma vie n'a plus aucun sens, je n'ai plus rien & tout est dépeuplé. Je verse encore des larmes quand je pense à toutes ces fois où tu as voulu partir loin de moi. Si tu l'avais vraiment fait, je ne sais pas comment j'aurais pu continuer sans toi. J'aurais fait toutes les bêtises du monde pour que tu me reviennes, pour que tu sois de nouveau à mes côtés. Le jour où tu seras à moi j'aurais enfin le droit d'être heureuse. Alors que pour l'instant je suis juste bloquée & malheureuse. Mais lorsque je pourrais enfin me réveiller à tes côtés, tous les jours, c'est alors que j'aurais enfin gagné ma partie contre la vie, contre chaque obstacle que l'on nous aura mis sur notre route & sur notre magnifique destin, qui nous attend. Il nous attend tous les deux.

samedi 1 octobre 2011

Can't be touched!



Lorsqu'il nous arrive de revenir sur nos pas, sur notre passé, on ressent ce pincement au coeur. Il suffit de retourner sur des lieux où l'on a passé des moments agréables, ce genre de moments que l'on voudrait toujours revivre, qui nous manquent & que l'on se souviendra toute notre vie. On se rend compte alors que la vie passe bien trop vite, chaque jour est un pas de plus dans l'avenir, & chaque année est une nouvelle page qui se tourne. On se rend compte que demain tout peut s'arrêter, alors il faut profiter de chaque seconde, comme si notre existence pouvait s'éteindre là, juste maintenant. Parfois, nos souvenirs prennent le dessus, nous étouffent comme si cette vie qui nous attend était un piège qui nous guette, pendant que l'on plonge lentement à l'intérieur. & il arrive qu'il soit bien trop douloureux de savoir que ce passé est du passé & que l'on n'y retournera plus jamais, & avancer devient alors une épreuve de plus qui nous pèse, quand l'on se retourne sur ces souvenirs qui nous donnent de la force & nous remplissent de joie mais qui en même temps nous donnent l'envie de vomir, de mourir pour les oublier parce que le bonheur passé est toujours douloureux.

samedi 17 septembre 2011

wish you were here

° ° °
Tu te regardes dans un miroir & tu te demandes si parfois tu n'aurais pas mieux fait de ne pas venir au monde. Tu aimerais peut-être disparaître & te laisser mourir ailleurs, là où personne ne pourrait souffrir par ta faute, par toutes tes erreurs, là où ta vie n'aurait plus aucune importance. Tu te rappelles combien de fois tu as essayé de tout abandonner, & à chaque fois ça n'a jamais marché. Alors tu laisses couler tes larmes & ton sang & tu prends trop de cachets en espérant qu'un jour tu n'y résisteras pas & tu t'en iras lentement en oubliant tout ce qui t'auras poussé au sommeil. Putain d'envie d'hurler, à chaque minute elle t'étouffe tellement. Le matin tu te réveilles & tu essayes de faire semblant d'aller bien, pour que personne ne se soucie de ton état, pour ne pas les ennuyer, & le soir tu te laisses enfin aller, tu déverses tout ce que tu peux & tu n'appelles jamais à l'aide, parce que tu penses que tu es forte, que tu t'en sortiras seule, comme à chaque fois. Mais la vérité c'est que cette fois-ci tu n'y arriveras pas. Il t'arrive d'avoir besoin de bras pour te blottir & noyer ton chagrin à l'intérieur, mais tu le gardes toujours pour toi, tu n'en parles jamais. Il faudrait simplement comprendre que le silence fini toujours par tuer.

jeudi 1 septembre 2011

Bad.


Dis-moi juste de quelle manière je pourrais te faciliter la vie. J'aimerais être capable de te laisser partir, pour que tu n'aies plus à supporter tout ce qui nous arrive, pour que tu sois plus heureux. Mais malheureusement je suis trop égoïste pour ça, parce que je sais que si tu t'en vas je n'aurais plus aucune raison de m'accrocher à mon avenir, à ma vie & que ce "nous" que je me suis imaginé tant de fois ne pourrait plus exister. Je t'ai donné mon coeur, juste à toi. Tu peux le briser si tu le veux, je ne t'en voudrais jamais, je ne serais jamais capable de t'en vouloir. Si je pouvais te prouver à quel point je t'aime je le ferais, si je pouvais trouver les mots justes je pourrais te les raconter, si seulement tu pouvais comprendre combien j'ai besoin de toi dans ce monde. Je ne sais pas comment t'expliquer ma détresse, je ne sais plus comment t'appeller au secours ni comment te sauver toi. Je sais que tout est boulversé, que tu es malheureux, par ma faute sûrement n'est-ce pas ? Sache simplement que si j'avais le choix, si mes mains n'étaient pas autant liées & si je n'étais pas autant coincée dans ce qui nous garde à distance, je foncerais vers toi, vers tes beaux yeux, ta peau, ton sourire, tes mains & ce corps que j'aimerais garder près du mien. Qu'est-ce qu'il faut que je te dise de plus ? J'aurais beau te répéter que je t'aime comme une dingue, à en crever, est-ce que tu m'écouteras jusqu'au bout ? A part toi, "notre" futur, "notre" bonheur, il n'y a plus rien qui me retienne. J'ai tellement besoin de ta présence. J'ai besoin de tes lèvres qui effleurent les miennes, j'ai besoin de ta chaleur. Tu me réconforteras toujours quoi que tu fasses. Lorsque j'ai envie de mourir je pense à toi & je me sens moins vide, moins seule, & même si je ressens ce malaise, ce n'est rien en comparaison. Ne t'imagines pas que je ne pense jamais à toi, ne t'imagines pas que je t'oublie, ne t'imagines pas que tu ne vaux rien, ne t'imagines jamais que je ne t'aime pas. Tu es toute ma vie & même si je manque encore de courage pour te le dire, chaque nuit je rêve de toi, chaque jour tu me hantes à un point que tu ne peux même pas envisager & je t'aime.. Tellement fort, d'une manière tellement puissante, tellement dévastatrice qu'elle me tue & me tient en vie à la fois. Tu seras le seul homme pour qui je pourrais ressentir ça, le premier & le dernier. Fais-moi juste confiance bébé.

lundi 22 août 2011

Damage


J'ai essayé de le vivre par procuration.

Je pourrais être quelqu'un de meilleur, être capable de fermer les yeux sur tout & me concentrer sur quelque chose d'heureux. Il se pourrait qu'un jour j'y arrive, mais tout est trop loin de ma portée pour l'instant. Alors en attendant, il faudra grandir & faire preuve de courage sans sciller, sans flancher, sans perdre de raisons de vivre, aussi rares soient-elles.

vendredi 5 août 2011

Airplanes

Je sais plus quoi faire pour te retenir alors que j'en ai pas le putain de pouvoir.

dimanche 31 juillet 2011

BTSTU



Excuse-moi si je m'éloigne, excuse-moi si je suis pas assez bien, excuse-moi pour tout.
Depuis le départ si on se fait du mal c'est ma faute. Il ne fallait pas que tu tombes amoureux de moi, il ne fallait pas non plus que je t'aime, il n'aurait pas fallu que je m'éloigne de toi, tu n'aurais pas dû partir, j'aurais dû te retenir, on aurait dû se dire la vérité. Encore maintenant j'ai la tête remplie de regrets, parfois trop. & tu me manques maintenant. Je ne pensais pas que ton amour serait capable de tenir autant de temps sans faillir à cause de la vie, de ta jalousie, de mon comportement, de ma faiblesse & je ne pensais pas être capable d'éprouver de telles choses, mais elles sont bien là & elles le seront toujours. Même si tout est encore compliqué pour l'instant je sais qu'on arrivera à défaire les noeuds de notre histoire un jour j'irais mieux & je serais capable d'avancer & toi tu te seras débarrassé de tes démons. On se soignera nos blessures mutuellement & on pourra accepter la vie telle qu'elle est, notre vie comme elle sera. J'ai parfois du mal à te dire "je t'aime" parce que je me sens coupable & stupide. Mais il faut que tu gardes en tête que mon amour sera toujours plus fort que les obstacles, que la distance qui nous déchire, & ce même lorsque je semble absente dans ta vie, même lorsque je disparaîs. Je ne serais jamais loin tant que ton coeur me laissera juste une petite place, au moins. Merci d'être là. Je tiens toujours mes promesses, alors crois-moi quand je te dis que l'avenir nous appartiendra. Encore une fois je t'aime.

image : Par moi - Photoshop.

lundi 25 juillet 2011

Sleepless nights

Les meilleurs textes postés sur mon skyrock xPink-Kittenx :

L'HOMOPHOBIE :

Comment ?! Tu n'arrives pas à croire au fait que ton fils ait fait telle erreur, n'est-ce pas ? Ton propre fils, celui pour qui tu auras tout donné, pour qui tu auras tant investi. En tant que père, ta fierté s'en retrouve touchée. Mais qui est-il ? Tu ne le reconnais plus. Ta femme te dit qu'un jour peut-être, cela lui passera, elle tente de t'adoucir. Mais peut importe, il n'est même plus digne de vivre près de toi, même plus digne de recevoir ne serait-ce qu'un regard de ta part. Plus le temps passe, moins tu le supportes. Tu ne le comprends pas. Quand tu repenses à ce petit garçon aux grands yeux noisettes qui voulait toujours te ressembler, qui disait "Moi je serais ingénieur comme Papa", celui qui t'admirait, celui qui voyait en toi un modèle, un repère. Quand tu repenses à tous vos moments passés ensemble, à votre complicité qui est bien loin maintenant... Quand tu penses que tu avais tout misé sur lui, sur sa réussite & qu'il n'en a plus rien à faire, qu'il a détruit ce que tu lui avais construit. Il a balayé tous tes efforts d'un revers de la main. Tu as tellement honte quand tu remarques toutes ces personnes qui se retournent sur lui, d'un air hautain. "Ce n'est pas mon fils, c'est impossible", tu te répètes sans cesse cette phrase intérieurement, n'est-ce pas ? Mais pourtant qu'il est bien ta chair & ton sang, il n'y a aucun doute là-dessus. Mais tu sais, la seule personne à blâmer ici c'est bien toi. Te rends-tu compte que tu renies ton fils pour un choix que pour une fois tu ne lui auras pas imposé ? Te rends-tu bien compte que ton fils est toujours le même, qu'il t'aime, & qu'il a encore besoin de toi ? Te rends-tu compte que par ta faute, sa vie est un véritable cauchemar ? Tu l'étouffes tant, tu l'empêches de vivre sa vie tout ça parce que ta dignité est touchée. Tu le voyais déjà à 30 ans, une femme au bras & pourquoi pas des enfants. Mais ce rêve-là est anéanti & le fait que tout ne se passe pas comme tu le souhaites te dérange. Tu penses qu'il est fou, stupide, complètement dérangé. Tu penses qu'il a une tare, que tout est fichu. Aujourd'hui, tu as voulu réprimander une fois de plus ton fils, le rabaisser plus bas que terre. Tu lui as crié de t'ouvrir la porte de sa chambre. Aucune réponse. Encore une raison de plus pour lui hurler dessus, c'est très bien. Tu le préviens, tu vas compter jusqu'à cinq & si à cinq il n'ouvre pas tu es prêt à défoncer la porte. 1. 2. 3. 4. 5. Menace exécutée, tu enfonces la porte d'un coup de pied. Peut-être que tu n'aurais jamais dû faire cela en fin de compte. Pourquoi ton fils est-il effondré sur son lit ? Tu t'avances. Tu le secoues, lui donne une gifle pour qu'il se réveille, le paresseux. Aucun mouvement. Cela l'amuse alors ? C'est à ce moment que ta vie bascule. A gauche de l'oreiller, une boîte. Une boîte de médicaments ouverte & une bouteille d'alcool vidée. Tu lui avais pourtant interdit de boire. Tu jettes un regard sur ton fils. Ton fils. Ta chair, ton sang. Tu hurles. Pour la première fois ce n'est pas de la colère. Non. Tu souffres. C'est une douleur sourde qui te prend au ventre, qui semble te tuer, qui te démuni, qui te soulève le coeur. Tu te rends compte que tu as tout perdu. Ils te disent que c'est terminé, qu'ils ne peuvent plus rien y faire. Tu es tellement blessé. Si tu le pouvais, tu te frapperais contre un mur. Malgré toi tu sens couler deux lentes traînées transparentes sur tes joues s'amplifiant à chaque seconde. Ta femme n'a plus aucune réaction à rien. Elle ne cherche même pas ton soutien. Elle ne fait que déverser sa peine aussi loin de toi que possible. Tu sais qu'elle t'en veut. Toi-même tu t'en veux. Qui es-tu pour avoir pu ne serait-ce que lui en vouloir ? Quel genre de monstre es-tu donc pour l'avoir détesté ? Mais il est trop tard maintenant. Il ne reviendra plus. C'est de ta faute. Il était ton fils. Ton sang. Ta chair. Ta vie. Il était le petit garçon aux yeux noisettes que tu as tenu sur tes genoux, que tu as bordé le soir avant qu'il s'endorme, c'était ton enfant. Tu entends encore cette berceuse que ta femme lui chantait doucement, tu revois encore son petit sourire d'ange, tu entends encore son joli petit rire. Il était ton fils, & tu aurais dû le soutenir. Tu aurais dû l'aimer jusqu'au bout. Gay ou pas.

THEME PERSONNEL :


Mes pensées aussi furtives,
Que le vent qui carressait tes cheveux,
Que la pluie d'automne qui dissimulait tes larmes,
& tes frissons d'anxiété cachés par les tremblements de froid.

Toi qui n'a jamais su comment maîtriser les battements de ton coeur,
M'entends-tu hurler ton nom derrière l'épais brouillard qui t'exclue du monde ?
Crois-tu qu'il y aurait une issue ?
Que le diable m'emporte si je n'en trouve aucune pour toi.

Si tu ne comprends pas ce que mes yeux veulent te dire,
Si tu n'entends plus ma voix,
& que tu ne remarques plus ces gestes que je tente de faire,
Que faut-il que je fasse pour que tu saches ?

Ouvre les yeux sur le monde qui t'entoure,
Cesse de réouvrir tes plaies,
Ne subit plus ce passé qui semble t'étouffer à chaque seconde,
Ne le dissimule plus derrière ton masque intouchable.

Je pourrais vendre mon bonheur au prix de ta vie,
& par les routes sineuses recroiser ton regard.
S'il-le-faut j'irais chanter ta fièvre sur ce sommet si lumineux,
Pour être sûre que demain tu ne t'envoleras pas.

Est-ce normal si je n'entends plus ta respiration ?
& tes sanglots ont-ils cessés ?
Ta démence se serait-elle envolée,
Parmis les cendres de notre histoire dévastée ?

Ereintée par tant d'hystérie,
Au son de ta voix j'oublierais mes pêchés,
& si tu le me permets,
Je viendrais te soutenir de mes mots inutiles.

Crois-tu que le précipice n'est plus très loin ?
Blasphème,
Que les jours sont longs,
& qu'ils me semblent lourds comme le poids de ta peine.

Si ton coeur ne trouve pas la paix,
Viens donc frapper à ma porte,
Je veillerais jusqu'à ma mort à ce que jamais,
Loin de moi le Ciel ne t'emporte.

& si tes démons reviennent te hanter,
Laisse cette main que tu tends en ma direction,
Si ton âme se fait lourde,
Laisse mes pauvres paroles l'effleurer.

Tente de respirer sous cette douce brise,
Reprend lentement goût à la vie,
Reprend ce qui t'as été retiré,
& ne ferme plus jamais les yeux de là où tu es.

THEME PERSONNEL :

Le poing serré, tu endures. Tu serres les dents en pensant au temps qui passe, qui file, qui te bouscule, qui ne te laisse aucun répit. & la haine qui te submerge, celle que tu ne peux refouler. Il t'arrive de vouloir fermer les yeux, réussir à ne plus penser. Tes palpitations & l'absence de raison qui t'emportent. Tes illusions qui s'emmêlent, qui te hantent. Pourquoi n'as-tu pas droit au repos ? Pourquoi n'arrives-tu pas à banir le mal qui n'a de cesse d'obstruer ta conscience ? La paix de ton âme aurait-elle un prix ? La nuit aussi interminable soit-elle que tu niais, que tu refusais d'admettre, qui aura cependant fini par te déchirer. Par te détruire à petit feu. & toi qui aura pourtant tenté de continuer sans te retourner, sans avoir à te poser de questions, te retrouve alors bien freinée dans ta course. Ta longue & épuisante course. & pourtant, tu te sentirais capable de déplacer des montagnes pour voir ne serait-ce que le mince éclat de ses yeux noirs sans fin. Ce jeu éternel qui t'emprisonne, qui te dénude face à la réalité qui te brûle & qui semble vouloir t'achever. Celui qui voudrait te lancer un défi, te menacer, t'accabler & te briser si tu ne l'acceptais pas. Si tu ne le relevais pas. Si tu ne réussissais pas. Cette vertue si fragile que tu pourrais sacrifier pour franchir ces murs immenses, qui semblent insurmontables. & pourtant tu sais que tu trouveras la force, tu sais que tu braveras mer & terre pour retrouver sa douce main. Tu ne laisseras pas le temps te brusquer. Alors tu relâches le poing. Les battements de ton coeur qui ralentissent. & peu à peu, le ciel s'éclaircit, laissant place aux traînées duveteuses & le soleil éclairer ton visage translucide.


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LA DROGUE:

Journal de Sally W., le 12 décembre à o1ho5.

"Cher journal,
J'me sens pas vraiment bien, tu sais. Je tremble de partout, j'ai la tête qui tourne & je suis fatiguée, vraiment fatiguée.
Mais ça, c'est sûrement parce qu'aujourd'hui j'ai pas pris ma dose habituelle. Mais j'avais pas assez de fric pour en acheter au gars qui m'en vend toujours. Je l'aime bien, lui. Il me juge pas, & quand il me donne ma came il me regarde jamais comme si j'étais une demeurée. Pas comme ces autres cons qui me répètent que la drogue sert à rien, que je me détruis, qu'il faut que je me fasse aider. Mais oui c'est ça! Ils se rendent pas compte que ma seule amie c'est elle. Quand elle se répend dans mon sang je n'ai plus mal, je n'ai plus cette haine lancinante qui me tue, je n'entend plus de la même façon & mes yeux alors... Je vois tellement de choses magnifiques. Des choses que les autres sont incapables de voir. Je me sens tellement puissante, tellement invulnérable, voire même immortelle. Je sais pas si tu comprends c'que je veux dire... J'pense que non, y a qu'un camé qui peut comprendre ça. 'Y a qu'un camé qui peut saisir ce que je ressens. Tu sais, quand tu pars dans ton délire, dans ton voyage, tu sais plus. Tu comprends plus. Tu penses plus (mis à part peut-être à danser & à rire jusqu'à en crever). Tout ce qui t'importe c'est juste sentir que tu te relaxes, que l'euphorie est en train de prendre posséssion de toi & que tes problèmes disparaissent au fur & à mesure que tu t'enfonces dans l'hystérie. Tout est moins douloureux. Mais après, quand les effets se dissipent, que tu commences de nouveau à sentir tes membres, avoir des crampes, que tu ressors de ton délire, là tu te prends une énorme claque intérieure, genre comme un retour des choses, tu vois ? Tu comprends que c'était simplement un état temporaire & que le monde qui t'entoure n'est plus le même. Il est glauque & malsain. Alors que dans ton trip il est tellement... tellement... je sais pas. Mais rien à voir avec cette ambiance de merde. & puis là, vlan, tu te prends tout dans la gueule. Tout ce qui s'était évaporé te reviens comme un élastique que tu ferais claquer. Puis là tu te mets à pleurer, tu sais pas vraiment pourquoi, mais tu chiales. Tu chiales tellement que t'as l'impression que tu pourras plus jamais pleurer de ta vie. & suivant ce que t'as pris comme substance tu te rends compte que t'es complètement déshydraté, que t'es au bout du rouleau. Alors ton coeur s'emballe, t'arrives plus à calmer ses battements, tu commences à te dire qu'il va sûrement finir par exploser. Puis tu t'écroules, t'as l'impression de dépérir lentement, douloureusement. & là, tu te sens vraiment seul au monde. T'as qu'une envie, c'est t'enfuir encore & encore. Recommencer ton voyage. & pourquoi pas augmenter la dose, histoire que ça dure un peu plus longtemps que d'habitude quoi. Il faut que je sorte, mon cher journal, il faut vraiment que je respire. Je devrais peut-être aller chez Karen, avec un peu de chance il lui reste encore de l'amphétamine ou du crack & en plus je me marre bien avec elle, elle est cool. Elle agit un peu comme une pute, du style quand elle a pas assez de blé pour sa coke elle se tape vite fait quelques dealeurs & en échange, ils la fournissent. Je suis pas vraiment pour & ça me dégoûte quelque peu, mais c'est comme elle veut, hein.
Bref, dans une semaine j'ai 16 ans. Ouais, super, encore une putain d'année de plus. & dans deux ans, c'est la merde qui commence.
Bon, cette fois j'y vais vraiment. J'vais aller voir Karen (j'espère qu'elle est pas occupée avec un de ses mecs de passage encore là...). Je croise les doigts. xoxo"


dimanche 24 juillet 2011

Alors que maintenant je suis seule, je ressasse ce qui fait donc parti de mon passé à partir de ce moment, parce que même si je repasse des jours similaires ça ne sera plus jamais la même chose, ça aura été la première fois & la dernière fois que je pourrais ressentir de telles choses..

Je voudrais être capable de trouver les mots justes pour exprimer cette admiration que j'ai pour cette personne si chère à mes yeux. A cette personne si chère aujourd'hui à mes yeux, que le destin à bien voulu me donner & me redonner. A cette personne que je croyais avoir perdue. A cette personne qui me comprend & m'aime malgré toutes ces années loin d'elle. A cette personne qui partage le même sang que le mien. A cette personne qui m'a tant manqué. A cette personne qu'aujourd'hui j'ai près de moi pour toujours. A cette personne qui me soutiens & me fais rire. Cette personne qui maintenant restera toujours avec moi après ces 12 années passées sans elle. Celle qui à ce jour me manque terriblement.. Je ne pensais pas un jour être capable de ressentir quelque chose d'aussi fort pour quelqu'un, de pouvoir être dépendante à ce point d'elle. & cette personne, c'est ce qu'on appelle une soeur. Mais dans mon cas c'est bien plus que ça, c'est une parti de moi-même, une prolongation de mon âme, elle vit en moi & je vis en elle. Chaque regard me prouve que l'on est la même personne, bien au-delà de la ressemblance physique. Si elle est malheureuse, je suis malheureuse, si elle est malade je suis malade. & si un jour elle me demandait de sauter d'un pont je le ferais, parce que je sais qu'elle m'aurait donné la meilleure solution & qu'il n'y a rien d'autre à faire. J'aimerais encore la prendre dans mes bras, regarder dans ses yeux, lire sur son sourire & lui dire que je l'aime tellement...

vendredi 15 juillet 2011

Quiero besarte..


"J'tanné d'être down & d'constamment feeler merdique en essayant d'garder l'équilibre sur un fil électrique"

I'll be there as soon as I can, but I'm busy mending broken pieces of the life I had before.. Muse.

Aujourd'hui j'ai pris la décision de m'en foutre. A partir de maintenant, je vais profiter, ramer dans la merde mais peu importe parce qu'on ne sait pas de quoi demain sera fait. Je m'en fous si je meurs, je m'en fous de tout.

lundi 11 juillet 2011

L'amour est mon pire ennemi, la haine est ma maîtresse.

Il faut que je lâche cette lame avant que ça soit elle qui le fasse.
Il m'arrive encore de me dire que si je laisse creuser encore plus loin dans ma peau ça ira mieux après. C'est ma seule amie, ma meilleure amie. La seule chose qui me permet de passer mes nerfs, qui comprend ce que je vis. Pendant que je suis occupée à me détruire à l'extérieur, j'oublie que j'ai si mal à l'intérieur. J'ai voulu jouer, j'ai perdu & c'est aujourd'hui que je le paye. Je n'arrive même plus à me rappeller de la dernière fois où j'ai réussi à être totalement heureuse. Il faudrait que je tue ce besoin de marquer mon mal, il faudrait que je lâche pour de bon. Mais je n'en ai pas l'envie, je n'en aurais jamais la force, parce que je suis faible. Je n'ai jamais été capable de m'en sortir sans dégâts. Je me suis inventé une force intérieure, un but, mais petit à petit j'ai tout perdu. Je l'ai perdu lui parce que je ne l'ai jamais mérité & je ne le mériterais jamais, & je l'ai blessé, comme tout ce que je touche. Cette fois-ci je ne ferais plus l'égoïste, je le promet, je le laisserais partir & je ne le supplierais plus de revenir. Il a raison sur tout. & même si ça me tue de laisser s'envoler tout ce qui me restait, tout ce que je voulais pour mon avenir, tant pis pour moi. Je trouverais encore refuge une fois de plus vers mon amie & je sais qu'un beau jour, le plus beau jour de ma vie sûrement, elle m'achèvera, & il n'y aura qu'à cet instant que je pourrais être heureuse, j'en suis certaine..

J'aurais voulu t'aimer encore & encore, mais la vie en aura décidé autrement. Je suis désolée pour tout ce que j'ai pu te faire subir. Tu n'auras plus mal maintenant, je te le jure.
J'ai merdé.

samedi 9 juillet 2011

Entre la vie & la mort il n'y a qu'un seul pas, & j'ai cru le franchir tant de fois.

J'en ai marre d'y croire. Je sais même plus quoi écrire, j'ai plus envie de rien, je sais plus comment continuer à vivre. J'en ai marre d'être tellement mal, j'en ai marre de pleurer, j'en ai marre de me taire à chaque fois.
Y a plus rien à dire, plus rien à faire. J'avais des putain de rêves, mais maintenant je n'y crois plus. Je n'ai plus envie de croire en rien, ni personne. Parce que personne n'est capable de me comprendre, personne ne peut m'aider. Je dois toujours mentir, leur dire que tout va bien, parce qu'ils ne comprendraient pas. J'ai juste envie de dormir & ne plus me réveiller, fermer les yeux & partir loin. J'en ai marre de moi, de ce qui se passe à l'intérieur, de ce putain de malaise de merde qui va finir par me TUER parce qu'un jour j'irais trop loin. Des fois j'aimerais tout oublier, & pouvoir recommencer à zéro. Mais ça sera jamais possible parce que cette vie de merde est une sale PUTE. J'ai été prise dans un piège qui me détruira jusqu'au bout, & qui me consumera comme cette clope que je fume pour faire passer le putain de temps qui m'affaiblis.

vendredi 1 juillet 2011

Beautiful Liar

J'voudrais simplement qu'il comprenne qu'à force de jouer avec le feu on fini toujours par se brûler..

      J'ai l'impression que ma vie redevient supportable, que je commence à m'en sortir. Ce n'est pas la première que je me fais cette réflexion, mais je pense que cette fois-ci c'est la bonne.
Le passé me manque tout de même terriblement, je me sens impuissante, j'aimerais retourner en arrière quand j'étais encore normale mais je crois que tout est fini. J'ai du mal à me détacher de tout ce qui s'est passé dernièrement pour aller de l'avant, je suis encore bloquée dans cette passe sale qui n'est pas encore tout à fait terminée & qui ne le sera jamais réellement & je sais que lorsque je quitterais cette terre j'aurais encore mal, parce que cette saloperie vient de loin pour me torturer d'aussi près. On pourra dire que j'aurais eu une jeunesse très sex drug & rock'n'roll. & pourtant ça fait mal maintenant, j'en ai assez je veux que ça cesse totalement. J'aurais tout essayé pour tuer le mal, j'aurais abusé de l'alcool, de la cigarette, de la drogue, de la mutilation, de tout. & rien n'a marché, bien au contraire, à chaque fois tout était pire & j'ai fini plus bas que terre. Souvent je me suis dit que si je voulais tuer le mal, il fallait que je me tue moi-même, mais jamais je n'ai réussi jusqu'au bout, parfois je suis heureuse de ne pas y être arrivée, & d'autres fois je le regrette. J'ai de la misère à vivre, mais pourtant au fond j'aime la vie, j'aime profiter, découvrir, aimer, goûter, comprendre, voir, entendre, toucher, respirer, chanter, danser & d'autres jours tout ça va me dégouter. J'ai trop fait souffrir de monde, y comprit moi-même. & j'ai besoin d'exorcicer tout ça, l'écrire pour m'en débarasser tellement j'me sens dirt. Partout où je passe je me sens jugée, j'ai l'impression que ce que j'ai vécu se lit sur mon visage & qu'on ne voit que ça sur moi. & pourtant j'essaye de faire mon possible pour faire taire mon regard & me mentir à moi-même. J'espère qu'un jour je n'aurais plus à prétendre que tout va bien, & que ça sera vraiment le cas. Le futur me fait peur, je ne sais pas si je pourrais m'y retrouver.

jeudi 23 juin 2011

Apaga la luz

Il y a tellement de choses que j'aimerais être capable de te dire. A chaque jour qui passe j'ai peur de perdre cette putain de bataille. Quand je me rends compte que tu t'éloignes de moi j'ai peur. Je sais plus si j'aurais assez de courage pour laisser passer le temps. J'suis en train d'en mourir. J'ai beau me faire mal, à l'intérieur c'est toujours là à me serrer le coeur & me ronger petit à petit. Je sais plus comment lutter contre cette putain de colère qui me tire vers le bas. T'es le seul repère & le seul but qui me reste. Si je pouvais arrêter de mentir au monde, arrêter de nous cacher je le ferais sans hésiter. Je sais qu'à tes côtés ça serait moins dur, que j'aurais assez de courage pour continuer de vivre mais là tu vois je suis même plus capable de passer une nuit seule sans chuter. Lutter, lutter, lutter. J'ai beaucoup trop lutté & ce soir je suis fatiguée d'attendre, de me battre, de supporter le poids de mes erreurs.


& donc ? je n'ai pas de solution.

dimanche 12 juin 2011

"Fausses promesses."


T'es ma vie, t'es ma perte, t'es mon coeur, t'es ma voie, t'es la seule ou t'es celle où j'ai rêver à toi. T'es ma vie, t'es ma perte, t'es ma peur, t'es ma proie, j'suis pas aveugle toi t'es belle, j'ai pas perdu la foi.

J'aimerais juste qu'on ait la vie moins dure. Qu'on puisse enfin s'aimer tranquillement sans avoir besoin de se retourner sur le reste. J'aimerais que tu sois mieux. J'aimerais avoir le droit de poser mes lèvres sur les tiennes sans te faire du mal. J'aimerais être capable de te dire que je t'aime sans avoir peur du lendemain, sans avoir peur de ce qui risque de nous attendre au coin du chemin. Je voudrais que la route n'appartienne qu'à nous, & que notre solitude & notre parcours ne soient plus que des mauvais souvenirs. J'ai hâte de me dire dans quelques années que toi & moi on a eu raison de s'accrocher & que tout ce qu'on aura vécu aura fait de nous deux personnes fortes. On sera des gens bien, avec un passé dégueu, mais peu importe parce qu'à ce moment-là notre présent sera tellement beau que le reste ne comptera plus. Chaque épreuve, chaque combat que je surmonte & que je mène font que je t'aime de plus en plus fort à chaque seconde. Putain bébé, si tu savais à quel point je rêve de tout ça, t'es mon coeur, je t'ai dans le sang jusqu'au bout & ça pour toute la vie, je le sais. Avec toi je pourrais tout faire, tout vivre, tout supporter, tout dépasser. Parce que t'es la seule chose aujourd'hui qui donne un sens à ma merde de vie. T'es la seule chose qui me maintient en vie & qui me permet d'y croire encore. Je supporterais pas de te perdre. Ce que je voudrais ce serait d'être là pour toi, comme ça t'aurais plus besoin de tes doses. T'aurais plus besoin de t'évader parce que je ferais tout pour que tu sois heureux & qu'on ait une belle vie ensemble. Je peux pas te promettre d'être toujours parfaite mais je voudrais être la femme qu'il te faut, la femme de ta vie, la femme qui te rende bien, qui te console, qui t'aide, qui te sois fidèle, qui te comprenne quoi qu'il puisse arriver & ça je peux te le jurer. Je sais qu'on est né pour être ensemble, on est fait pour s'aimer. Tu vois, on aura eu tant de problèmes, tant de barrières, mais crois-moi s'il l'on tient, si l'on se bat, la salope de vie nous le rendra bien & un jour on se rendra compte qu'on aura tout gagné. T'es dans mes rêves, dans ma tête à chaque seconde, chaque minute, chaque heure, chaque jour. Les mots sont trop faibles pour que je puisse te dire à quel point je t'aime & à quel point tu fais parti de moi. J'aurais beau écrire, écrire, je trouverais jamais assez de mots pour exprimer la force de mon amour pour toi. Alors en attendant je ferme les yeux & je serre le poing, j'endure en me disant que tout ça prendra fin bientôt & je pourrais enfin respirer à tes côtés.

"J'veux être ta vie d'rêve, le sang qui coule dans tes veines... Les seules fois qu'on se laisse c'est dans mes cauchemars les plus fous, j'rêve qu'on m'tient en laisse pis qu'y a plus d'baisers dans ton cou"


http://www.youtube.com/watch?v=D2JjlqUNxNY&feature=related "A temps plein j'pense qu'à toi pourtant jpas comme ça j'fais du mal à chaque fois car mon love jle donne pas"


http://www.youtube.com/watch?v=BJUjFDgb-AU - J'te dis tout. Sammas

mercredi 8 juin 2011

Nameless

Lorsque je ferme les yeux il m'arrive de me dire que je ne suis rien sans toi.


Tu n'imagines pas à quel point mon coeur t'appartient, à quel point mes lèvres sont tiennes. Aujourd'hui j'ai enfin compris que je n'irais nulle part sans toi dorénavant. & je t'aime d'une force incroyable qui me dépasse moi-même. Je pense n'avoir jamais autant aimé, & je pensais cela impossible. Je pensais que je ne pourrais plus aimer à ce point quelqu'un de ma vie, mais toi tu es là, & j'ai réussi à t'aimer comme aucun autre. J'ai trop besoin de ta présence pour avancer seule. Alors lorsque je te prends dans mes bras j'imagine que tout va bien, & que plus rien ne nous séparera.


lundi 6 juin 2011

Temptation


Je t'aime autant que je te hais. Tu me rends heureuse & pourtant tellement mal. Tu me sauves & tu me tues. Lorsque je relève la tête c'est pour toi & lorsque je m'écroule c'est aussi à cause de toi. Tu es mon remède, tu es mon poison.
Tu as cette façon de me cacher toujours la vérité & tes sentiments qui me donne envie d'exploser. Mais tu as cette façon de me regarder & de me dire que tu m'aimes qui fait que tout va bien dans le monde. Alors est-ce que tu pourrais me dire ce que je dois faire ? Crois-tu que je pourrais continuer ainsi toute ma vie ? A chaque dispute je suis dans la peur constante que tu finisses par partir pour de bon. A chaque fois j'ai l'impression que les mots que tu m'adresses sont les derniers & j'en souffre tant. Mais je ne pleurerais pas cette fois-ci, j'essayerais d'être assez forte. Tu me mets hors de moi. J'en ai assez de culpabiliser, de me sentir en tort, de comprendre que tout ce qui arrive est de ma faute. Je n'en peux plus de vivre sur du mensonge, sur des non-dits, sur de l'amour, de la haine. Voilà, je ne suis pas assez forte... Je ne sais plus quoi faire pour toi, ni pour moi. Je sais que ma vie est avec toi, que mon futur sera dans tes bras, c'est tout ce que je nous souhaite à tous les deux. Chaque nuit je rêve de toi, de ta voix, de ton odeur, de ta main qui se referme sur la mienne. J'ai besoin de toi. J'ai besoin de vivre avec toi. J'aimerais toujours que tu m'appartiennes, j'aimerais être à toi & arrêter d'avoir mal. Un jour tes paroles sont les plus belles & touchent ce petit point que j'ai dans le coeur & le lendemain elles sont tellement cruelles que j'en ai le goût de mourir.
Si tu avais à quel point j'aurais besoin de recoller les morceaux de mon passé, refermer les plaies, les oublier & ne plus jamais les réouvrir. Ca me tue, ça me tue, ça me tue, ça me tue, ça me tue, ça me tue, ça me tue. J'aimerais pouvoir te dire tout ceci, mais j'en suis tellement incapable.
Parfois j'aimerais juste pouvoir fermer les yeux, & ne plus rien savoir, t'oublier. Chaque cicatrice s'ouvre au nombre de combat que j'ai perdu contre la vie & chaque larme est une nouvelle preuve de ma faiblesse. Je n'ai plus la force de respirer, de rester droite, le sourire aux lèvres comme si de rien n'était.
Alors tu vois, je ne sais pas si je serais capable de tenir encore longtemps sans finir par m'écrouler. Alors je te le dis encore une fois, & ceci n'est pas un adieu, je t'aime. Je t'aime tellement que je pourrais tout faire pour que tu sois l'homme le plus heureux au monde. Je pourrais tout faire pour toi. Je t'aime plus que ma propre vie.

mercredi 1 juin 2011

Pas de titre aux chagrins.

Ce soir je suis tellement seule sans toi. Si seulement j'avais le droit de t'aimer je sais qu'on aurait la belle vie dont on rêve. A chaque fois que je te vois, ça s'amplifie & ça me tue. A chaque fois que tu me prends dans tes bras je prie pour que ça dure toute la vie.

"Je veux rester, vivre avec toi toute ma putain de vie. Je ferais tout pour que tu sois la femme la plus heureuse au monde, que tu ne manques de rien. Je t'aime, bébé, je t'aime comme ce n'est pas possible d'aimer."

vendredi 27 mai 2011

Mia

"Avec qui j'me vois dans les années à venir, une famille, des enfants, c'est avec toi que j'veux l'vivre..."
Cette phrase veut tout dire je crois.



Aujourd'hui je crois que mon avenir sera à tes côtés.
Chaque jour on s'aimera plus que le précédent. Quand je me réveillerais le matin, tu seras là & je te regarderais dormir. Quand j'essayerais de te cuisiner quelque chose, ça sera tellement mauvais que tu te moqueras de moi. Quand on s'affalera devant la télé avec de la bière. Quand je t'embêterais. Quand je te câlinerais. Quand je ferais tout pour être la plus belle femme à tes yeux. Quand on ira à des soirées & qu'on rentrera à moitié bourrés. Quand tu m'feras l'amour. Quand on aura notre quotidien à tous les deux. Quand on aura des enfants. Quand lorsque t'auras des problèmes je t'aiderais. Quand lorsque j'aurais un chagrin tu sécheras mes larmes une à une. Quand lorsque l'on se disputera on finira le soir-même par se réconcilier. Quand on se prendra des crises de rire pour rien. Quand je rigolerais lorsque tu sortiras une connerie grosse comme toi. Quand tu me diras que je suis vraiment petite. Quand on ira au restau avec ma famille & la tienne. Quand on aura tous les deux un travail & un joli toit. Quand tu peindras la chambre du bébé en bleu alors que ça sera une fille. Quand on se disputera pour le prénom. Quand lorsque l'on prendra la voiture tu mettras la musique encore plus fort que les autres & tu rouleras un peu trop vite. Quand même sans maquillage tu me trouveras jolie. Quand tu voudras péter la gueule aux mecs lourds qui viendront me draguer. Quand on se mettra à danser tous les deux sur du reggeaton même en plein milieu du salon si on a envie. Quand tu me diras que tu m'aimes. Quand tout ira bien. & c'est tout ça que je veux vivre avec toi.

"Je crois bien que mon futur est avec toi, t'es la femme de ma vie bébé" 

jeudi 26 mai 2011

Wherever you will go








Efface ce sourire que tu as aux lèvres & éteins un peu ton regard s'il-te-plaît. Ton coeur bat bien trop vite, où comptes-tu aller les mains si tremblantes ? Ferme les yeux & cesse de jouer avec le feu.












Je ne sais plus si j'dois te remercier ou te détester.
Pt'être qu'au fond j'devrais être assez forte pour partir,
& ne plus te subir,
Car chaque fois que tu t'en vas tu me fais sombrer.

dimanche 22 mai 2011

Le dije esta noche, sanldrà la luna llena, si quieres te recojo en mi coche, y te llevo a ver las estrellas...

Putain pourquoi tu comprends rien ? Pourquoi tu veux pas comprendre que c'est ta fucking absence qui me tue ?
J'en ai marre que tu partes de ma vie sans cesse. Je sais plus comment faire pour supporter ça. Je le supporterais pas cette fois-ci. Parce que sans toi j'me sens mourir. Je ne sais plus quoi faire pour te faire revenir. Te supplier? Me mettre à genoux? M'excuser? Te dire que je t'aime? Te raconter ma misère à vivre? T'expliquer que sans toi j'suis plus rien? Tout est déjà fait. Alors donne-moi la solution s'il-te-plaît. Qu'est-ce que je dois changer? Dois-je aller bien pour te soulager? Ou mal pour t'inquièter? Merde, si tu savais comment cette façon de partir sans même me regarder une dernière fois m'a tuée. T'as été incapable de me dire aurevoir dans les yeux. & moi je n'ai pas su te dire les mots justes, je n'ai pas su te retenir. J'étais tellement morte à l'intérieur, que rien n'a pu sortir à part un "je peux pas..." ou un "non...". Explique-moi comment je vais faire pour survivre sans toi, sans ta main, sans ta voix, sans tes yeux. J'ai le coeur tellement lourd & j'ai ce putain de mal de vivre qui me pousse au fond. Je ne trouve plus la force, je ne sais même plus pourquoi je devrais la trouver. Ma seule force c'était d'entendre ta respiration & sentir ta présence. L'autre jour, j'ai respiré ton odeur pour qu'elle se grave. Est-ce qu'au fond de moi je savais que tu partirais? Il me faut plus d'une soirée, d'une fête ou d'une défonce pour t'oublier. Parce que même dans mes rêves c'est ton visage qui m'apparaît, c'est ton rire qui résonne dans ma tête. Arrête de dire que tout ira bien. Tu sais autant que moi que c'est faux. Chaque soir je vais supplier le monde pour qu'un matin tu te réveilles en te disant que tu t'es trompé & que tu dois revenir. J'espère que mes larmes ne seront pas tombées pour rien.

vendredi 20 mai 2011

Break the ice






Que tu tiennes ma main aujourd'hui encore est une bénédiction,
Cet après-midi j'ai vu dans tes yeux du regret & du chagrin,
Je sais que ton coeur est blessé jusqu'au fond,
Mais tu sais que je suis là pis que j'te soutiendrais jusqu'à la fin.






lundi 16 mai 2011

If everyone cared & nobody cried

Tu sais hier soir j'ai cru mourir.
Mourir parce que j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps, mourir parce que j'avais tellement mal, mourir parce que je ne pourrais jamais vivre sans toi, mourir parce que tu ne comprends pas que je t'aime comme une folle, mourir parce que je te fais souffrir, mourir parce que tu veux partir, mourir parce que cette musique me fait penser de trop à toi, mourir parce que ma seule raison de vivre risque de s'envoler, mourir parce que ma raison de vivre c'est toi. T'auras beau faire toutes les erreurs du monde, je ne pourrais jamais t'en vouloir. Tu pourrais m'humilier, me torturer, me frapper, me prendre dans tes bras, me dire que tu me détestes, me dire que tu m'aimes, me tuer, je ne pourrais jamais être en colère. Je ne te mens pas quand je te dis que je t'aime, ce ne sont pas que trois mots alignés. Parce que je t'aime d'une façon indéfinissable & ce plus que n'importe qui. Tu sais je t'aime plus que l'amitié, plus que l'amour, plus que la fraternité, plus que tout. & je sais que tu ne peux pas le comprendre. Je te fais tellement mal jour après jour, je vois dans tes yeux ce cri de douleur que tu voudrais me faire entendre mais qui ne sort jamais. Je sais que tu m'aimes. Je sais que tu me détestes pour ce que je te fais subir, & je suis tellement, tellement, tellement désolée. Je suis incapable de rester, incapable de partir. La vérité c'est que je te voudrais pour moi seule alors que je n'ai rien à t'offrir. Je voudrais que tu restes toujours mien & que rien ne t'approche à part moi. Je me hais d'être tant égoïste alors que tout ce que je veux c'est ton bonheur. & je sais que pour ton bien, je devrais te laisser partir, t'en aller loin de moi. Mais dis-moi pourquoi je n'y arrive pas, dis-moi pourquoi lorsque tu menaces de t'enfuir je me retrouve au pied du mur, vide & cette envie de mourir tout au fond de moi. Lorsque je vois à quel point ton malheur grandit chaque minute, cet espace meurtrier dans mon coeur s'agrandit & mon désespoir en est amplifié. Je dis jamais que je mens, ne dis jamais que tout cela est faux. J'aimerais juste que tu saches que tous les soirs je verse des larmes pour toi, je souffre pour toi. Mais si je pouvais prendre encore du chagrin pour que le tien disparaîsse je le ferais sans hésiter. Je pourrais endurer le malêtre, la fatigue, le désespoir, le chagrin, la douleur, la mort pour que toi tu sois heureux. J'ai cette sensation d'exploser intérieurement. Je te jure que j'ai mal pour toi, pour nous. Tu sais, mon souffle se fait court. Je suis désolée pour tout, & je t'aime sincèrement, je t'aime comme jamais personne ne pourra t'aimer, je t'aime plus que tout au monde & encore plus que tout cela.

dimanche 15 mai 2011

Savin' Me

We have to move the time forward, & I forgave you for not telling the truth. You know it won't last forever, darlin'. She has nothing to fear of me. & like the feather, I fly through my fucking destiny. Sorry, it's done.


 Ce que tu voulais c'était l'amour, l'amitié, le travail, la musique, la réussite, la reconnaissance, le bonheur. Tu voulais jouer de la guitare, chanter, en faire ton métier, tu pensais que c'était simple. Mais en vérité tes doigts ne te servent plus qu'à rouler & ta voix ne parvient plus à se faire entendre. Ta valeur de la vie est descendue si bas que tu ne sais plus où aller ni quoi faire pour oublier cette douleur constante qui te détruit jour après jour. Tu pensais que la drogue effacerais ton mal être, que la fumée emporterais tes réflexions, que ce poison t'aiderais à vivre. Tu ne sais plus où demander de l'aide, tu n'oses même plus y réfléchir. Tu regardes simplement la pluie à travers la fenêtre en te demandant si tout cela prendra fin un jour, & peu importe de quelle manière. Tu ne trembles même pas à l'idée d'en mourir, ton cerveau n'a plus assez de force pour comprendre le sens de cette phrase. Tout ce que tu peux faire aujourd'hui, c'est attendre, encore & toujours qu'un simple geste te sauve.

CA FAIT TELLEMENT MAL CA FAIT TELLEMENT MAL CA FAIT TELLEMENT MAL CA FAIT TELLEMENT MAL CA FAIT TELLEMENT MAL CA FAIT TELLEMENT MAL CA FAIT TELLEMENT MAL CA FAIT TELLEMENT MAL CA FAIT TELLEMENT MAL CA FAIT TELLEMENT MAL CA FAIT TELLEMENT MAL CA FAIT TELLEMENT MAL.

samedi 14 mai 2011

Quand on dit que l'amour c'est la vie, c'est pas tant faux

Je sais pas ce qui est le pire entre cette putain d'envie de mourir & ce trou béant dans ma poitrine...

Si tu vois la porte de sortie, fais-moi signe s'il-te-plaît, il me faut de l'air j'étouffe tellement ici. Je ne sais pas si je pourrais survivre à tout ça & mon courage ne sera pas éternel. Je voulais juste que ce soir tu poses ta main sur la mienne & que tu me dises que tu m'aimes. Seulement, où es-tu ? Où es-tu pendant que mon coeur lâche maintenant ? Il m'arrive parfois de regarder l'heure en me demandant si cette minute n'est pas la dernière. Je ne sais plus si tout cela vaut la peine d'être vécu.

jeudi 12 mai 2011

Lips Like Morphine

Dans ce putain de monde, j'aurais voulu que tu sois le seul.
J'aurais voulu être certaine d'être toujours dans ton coeur, mais aujourd'hui il n'y a plus que des doutes qui m'assaillent. J'ai peur que tu finisses par t'en aller pour de bon, que tu me laisses alors que j'ai trop besoin de toi pour poursuivre ma route. J'ai peur de te perdre, encore, mais que cette fois-ci se soit la dernière.

Toi & moi ça restera toujours un fuckin love impossible.

Ce que j'aurais voulu c'est d'avoir le droit de plonger mes yeux dans les tiens sans ressentir un tel désespoir,
Là où j'aurais voulu crier,
Là où j'aurais eu besoin de pleurer,
C'était uniquement dans tes bras,
Mais je n'ai rien dit, & tu n'en sauras jamais rien.


dimanche 8 mai 2011

Drop It Like It's Hot

L'optimisme c'est quand tu as 1000 fois plus de problèmes que les autres mais que t'as 1000 fois plus le sourire qu'eux :)








Ps : je tiens à préciser que les images ici ne sont pas toutes les miennes, mais TOUS les textes sont de moi. Si ce sont des paroles de chanson ou autre je les met entre guillemets.


Katy Perry & Snookie ---->








<---- Paris Hilton & Snookie


Snookie est tellement cute mon dieu <3

samedi 7 mai 2011

Never Gonna Leave This Bed

                    Under every scar, there's a battle I've lost... 


Je ne sais pas par où commencer.
Je voudrais d'abord te dire merci. Merci de m'avoir sauvée. Tu es arrivé dans ma vie au moment où j'avais le plus besoin. Tu es entré dans ma vie & je ferais tout pour que tu n'en sortes jamais. Je ne sais pas si tu me mérites, si je suis assez digne pour avoir le droit de te toucher mais je jure que je ferais tout pour ne jamais te faire de mal.
J'ai fais un bon nombre d'erreurs & si je pouvais je les effacerais une par une, mais tu sais comment ça marche. J'ai du mal à trouver les mots ce soir. Je me sens bien, mais en même temps si mal. Parce que ce soir, tu n'es pas à côté de moi, & pourtant j'aurais tellement besoin de ta présence, de sentir tes bras qui m'enlacent ou encore ta bouche frôlant la mienne. J'ai tellement de chance. & j'ai peur de tout gâcher. Je sais que j'ai fais trop de bêtises, tu sais. Parfois ça me pèse encore... Ca me pèse tellement que j'étouffe & je voudrais faire table rase du passé, que j'oublie tout ce qui s'est passé & reprendre tout à zéro.
Pourtant il y a une chose que je ne voudrais pas effacer, & c'est toi. Parce que je t'aime. J'aimerais pouvoir te garder près de moi jusqu'à la fin de ma vie. Je ne sais pas si tu pourras me supporter jusqu'à là, mais je l'espère de toutes mes forces. Je me permets de croire encore une fois à l'amour & cette fois-ci j'aimerais que tu sois le bon, j'aimerais que tu sois enfin celui qui ne lâchera pas ma main, qui ne m'abandonnera pas. Je m'autorise à croire de nouveau en ce qui m'a mise à terre trop de fois, en ce qui m'a donné parfois le goût de mourir. Mais tu sais, il paraît que certaines choses sont un mal pour un bien. Peut-être que si j'ai souffert tant de fois c'était pour finir par te rencontrer & que tu me fasses guérir de la meilleure des façons. Parce que le meilleur des remèdes c'est sûrement de sentir ta main dans la mienne & ton souffle chaud dans mon cou... Alors oui je t'aime, mon amour.

Il n'y a rien que tu puisses saisir dans ses yeux livides & les mains tremblantes tu te réfugies de nouveau dans ton mutisme, là où plus rien ne pourra plus jamais t'atteindre.





J'aimerais pouvoir te regarder dormir sans me soucier du temps qui passe. J'aimerais pouvoir te garder toujours près de moi & que jamais tu ne t'en ailles. J'aimerais que tu sois à moi pour la vie.





Quand je pense à toi j'ai l'impression de mourir étouffée parce que tu es trop loin de moi, parce que tu ne m'entends pas pleurer le vide que tu as créé autour de moi. Si tu savais combien j'ai l'impression que tout est de ma faute, combien je culpabilise. Parfois j'aimerais pouvoir fermer les yeux & oublier, m'en aller. Quand je repense à chacune de tes phrases, je me sens tomber à terre & à chaque fois je ne sais pas si je serais capable de me relever de nouveau. J'aimerais tellement pouvoir tendre la main & attraper la tienne, m'y accrocher & ne plus jamais la lâcher. Sans ta présence je n'ai plus cette force que j'avais avant, elle s'est envolée quand toi tu m'as tourné le dos. Tu n'imagines même pas à quel point je tremble quand les images du passé me reviennent en tête, & chaque jour, chaque heure est plus douloureux. Je voudrais m'arracher le coeur & ne plus rien ressentir. Mais je crois que tout ça est bien inutile.

http://www.youtube.com/watch?v=vz7Gstx5ogk ; quelle putain de danseuse & chanteuse.